lundi 9 janvier 2012

L’HEURE DE CEUX QUI NE POURRONT SURVIVRE, SANS LE MEURTRE DE TOUS LES AUTRES




La prédiction est la suivante :

“ Israël aura vingt deux ennemis, mais qu’il ne perde pas confiance, car il les vaincra toujours. Un jour pourtant, viendra un vingt-troisième, et ce jour annoncera la fin d’Israël. ”

Partant d’un tel énoncé aussi surprenant, sorti du fond des âges, il existe logiquement, deux attitudes possibles :

On y croit, et dès lors on sait que quoi que l’on fera, la prédiction se réalisera...

On n’y croit pas, et dès lors il n’y a pas lieu de s’alarmer ni de prendre aucune mesure, afin de pouvoir faire face à quoi que ce soit d’aussi dramatique, ce ne sont que des sornettes...

Tout le danger qui nous guette d’aujourd’hui, vient du fait qu’il y en a qui y croient, mais qui pensent que malgré tout, ils parviendront par leur ténacité, à démentir la prédiction, autrement dit, qui se sentent capables par leur hargne, de “défier le cosmos”.

Nous parlons ici de “cosmos”, pour désigner selon le sens fondamental de ce mot grec, “l’ordre”, celui qui régit tout notre univers, et dont ce que nous reconnaissons habituellement par ce terme, c’est à dire “l’ordre des objets célestes”, n’en est que l’aspect “spectaculaire”. La science qui en traite est donc dite, “cosmologie”, là aussi, dans un sens du terme qui va bien au-delà de celui restrictif, retenu par les astrophysiciens.

Tous ceux qui, par conviction rationaliste, envisagent volontiers avec condescendance, si ce n’est avec du mépris ou de la suspicion, toutes ces questions de religion, d’ésotérisme, et de haute métaphysique, sont alors bien démunis pour pouvoir comprendre quoi que ce soit, dans la partie terrifiante qui se joue aujourd’hui, mettant en cause la paix mondiale, avec rien de moins que le risque d’une impensable et inadmissible, “troisième guerre mondiale”.

Cet état d’Israël pose problème c’est évident. Ceci, compte tenu des circonstances historiques de sa création, des conditions géopolitiques de son maintien, des justifications philosophiques et religieuses de son fait et de sa nature, de la mentalité de ses citoyens, du soutien irrationnel dont il bénéficie, et qui fait dire à certains juifs avec raison, que c’est la pire des choses qu’on peut leur faire, mais surtout, de la terrible “impasse cosmologique” dans laquelle il se trouve et qui, sauf à se montrer capable de surmonter le cosmos, lui sera fatale...

Car, ce qu’il faut bien comprendre dès à présent dans cette affaire, c’est que c’est précisément ce qui aura constitué la fondation sur laquelle va s’ériger cette nation, c’est à dire, non pas une base formelle, solide, se suffisant de faits historiques opposables et ineffaçables, comme c’est le cas pour toutes les autres nations, mais une combinaison de telles données, avec une “croyance”, par nature contestable, qui va fragiliser cette construction et constituer la raison certaine, à terme, de sa future destruction.

Exprimé différemment tout ceci signifie, selon l’esprit même de la prédiction, que :
“Si vous usez d’une métaphysique, afin de votre fait, redoutez alors une métaphysique, de votre défaite. Car l’invincibilité que vous en tirerez, vous garantira ensuite la mort, parce qu’en la métaphysique, elles ne forment qu’une chose. Seule la mort en effet, est invincible, et rechercher l’invincibilité, confine tôt ou tard par delà les succès, à rechercher la mort.”

Cet état d’Israël n’espérant qu’en l’invincibilité, il y trouvera fatalement la mort.

La “métaphysique”, telle est tout à la fois la force et la faiblesse des juifs, et de l’état d’Israël, et si les lobbies “sionistes”, sont à ce point préoccupés de noyauter les médias, c’est bien que parce que par delà le soutien qu’ils veulent obtenir de cette façon pour l’état d’Israël, ils savent bien qu’il leur faut conserver la “maitrise des esprits”. Car la force de la “croyance”, c’est à dire de la capacité à faire qu’effectivement “il advienne”, par un exercice du “vœux”, peut être totalement anéantie, dès lors que cette croyance se trouve “démentie” par le “doute”, et par un autre “imaginaire” que celui sur lequel elle se trouve établie, et qui la conteste.

Ceci signifie que si on ne peut pas défaire les faits, on peut très facilement défaire une croyance, avec tout ce qui s’est trouvé établi selon elle, et surtout, tout ce qu’elle sous-tend effectivement dans le déroulement de l’actualité, car nous verrons que de façon surprenante, l’exercice d’un vœux selon une croyance, a bel et bien un effet, sur le déroulement physique des choses.

En réalité, la seule chose qui pourrait épargner à l’état d’Israël sa future destruction, telle qu’elle est annoncée selon les écritures, serait que ses citoyens ne croient plus en rien, autrement dit qu’ils ne soient plus juifs. Car même si celui-ci est involontaire et inconscient, c’est bel et bien par leur propre exercice, celui résultant de leur “foi” démentie, et retournée, et qui n’est rien d’autre que ce que nous nommons “la crainte”, laquelle force la réalisation d’événements dont ils sont convaincus de la fatalité, qui va amener contre eux la réalisation de la prédiction. Ainsi, contrairement à ce que beaucoup de gens peu familiers avec ces questions s’imaginent, ceux qui porteront le coup fatal à l’état d’Israël, n’utiliseront pas des armées ni des bombes, mais des armes métaphysiques qui justement contre eux, se révéleront plus redoutables encore.

C’est ce qui explique que les responsables israéliens admis dans le secret des choses, ont à ce point détesté Yasser Arafat, qu’ils n’ont cessé de tenter d’assassiner, et sont d’ailleurs probablement parvenu à empoisonner, parce qu’il était à même de constituer un “démenti”, possédant des “cabalistes”, ayant probablement été assassinés eux aussi depuis, connaissant la mystique juive tout autant sinon plus, que les juifs eux-mêmes, et donc capables de l’anéantir.
C’est ainsi que la proclamation à Tunis, de l’état de Palestine par Yasser Arafat, s’est déroulée aux alentours de 1h du matin, horaire tout à fait curieux pour une telle cérémonie, mais qui correspondait en fait à la nécessité d’une configuration astrale, ce qui n’a pas trompé les cabalistes juifs.

Partant de là, et alors même que le discours de Yasser Arafat fut à cette occasion tout à fait positif, puisqu’il déclarait “caduque” la charte de l’OLP qui prévoyait la destruction de l’état d’Israël, l’ambassadeur de ce pays à l’époque, monsieur Sofer, parcourait fiévreusement les chancelleries et les rédactions, pour dire qu’en réalité, Yasser Arafat voulait la destruction d’Israël à petit feu, discours qui ne bénéficiait alors, d’aucune crédibilité.

L’impasse cosmologique de cet état d’Israël réside dans le fait que bien qu’il ait eu les moyens de faire la paix depuis longtemps, il ne s’y est pas résigné, parce que cette paix allait conduire fatalement, soit à la création d’un état palestinien, le vingt-troisième ennemi redouté, soit au retour des réfugiés, lequel allait anéantir le caractère juif de cet état.

Ce droit au retour des réfugiés, décrété par les Nations Unies par la résolution 194 de décembre 1948, a été depuis cette date lointaine, réaffirmé plus de “cent trente fois”, sans que jamais cet état d’Israël, constamment protégé par le droit de véto américain, n’obtempère. La résolution 3236 de novembre 1974 quant à elle, va encore plus loin, puisqu’en plus d’un droit de retour dans leurs foyers pour ceux qui le désirent, elle prévoit un dédommagement pour ceux qui y renoncent, et le droit à l’autodétermination pour le peuple palestinien, qui de façon prévisible, réclamera la fondation pour lui, d’un état.

La problématique d’Israël est donc de trouver un moyen de faire la paix, sans avoir à reconnaitre les droits fondamentaux de ceux avec lesquels il se propose de faire cette paix, mission impossible, ou de faire la guerre, en espérant qu’il sera toujours en mesure de vaincre ses ennemis jusque dans la nuit des temps, ce qui ne s’inscrit évidemment pas, dans un ordre logique et prévisible des choses. Et même s’il y parvenait un moment, ceci ne ferait que faire reculer l’échéance, puisque cette invincibilité de l’instant, confirmerait la funeste prédiction, qui implique par la suite, l’arrivé fatale du vingt-troisième ennemi.

Tout repose donc dans cette affaire, dans le degré de crédibilité, qu’on accorde à la prédiction, étant bien entendu, qu’il ne faut absolument rien craindre de ce qu’elle annonce, c’est à dire la destruction de cet état déjà promise par d’autres, pour n’en tenir aucun compte, alors même qu’elle relève la propre tradition mystique de ceux qu’elle concerne. Et ceci, compte tenu surtout qu’un pays qui enfermé dans cette impasse cosmologique selon laquelle, il se trouve tout autant menacé par la paix, que par la guerre, ne dispose évidemment pas de beaucoup de chance à terme, de s’en sortir, quoi qu’il fera, même s’il est parvenu à entretenir souvent un état de non-guerre et non paix, cet artifice ne pouvant éternellement durer...

Il semble donc que l’option retenue faute de mieux, soit de ne pas faire la paix, mais de ne plus faire la guerre non plus, du moins pas par soi-même, pour que ne se réalise pas la prédiction. C’est alors qu’interviennent dans cette affaire les Américains, pour permettre à cet état d’Israël de ne pas faire la paix, ce qui explique le revirement total de ce monsieur Obama concernant cette question, mais sans pour autant devoir faire la guerre, charge désormais confiée à ces Américains.

Voici donc comment ces gens espéraient qu’ils allaient pouvoir contourner le cosmos. Seulement voila, c’est le désastre, parce que la combine qui consistait à entretenir sans fin, des négociations de paix, dans le seul but de ne jamais aboutir, pour gagner du temps afin que la colonisation des territoires palestiniens, puisse rendre définitivement impossible la création de leur état, est devenue par trop évidente pour tout le monde. Ceci, de sorte que monsieur Mahmoud Abbas, président de l’autorité palestinienne, est allé déposer aux Nations-Unies, une demande officielle d’adhésion de la Palestine, comme état membre à part entière, de l’organisation. Or, cette demande recueille la faveur des trois quarts des membres de l’illustre assemblée, auxquels bien sûr ces Américains une fois de plus opposeront leur “veto”, mais dans une posture outrancière et injustifiable aux yeux des autres, qui correspondra pour eux à un désastre diplomatique encore pire que celui, mémorable, qui leur fut infligé par la France, en la personne de monsieur de Villepin, et dont ils se passeraient bien de le voir annonciateur d’autres désastres à venir pour eux, en cette période qui leur est si difficile.

Ceci, d’autant que ces gens indisciplinés de l’UNESCO, ont déjà quant à eux reçu la Palestine, comme membre de la prestigieuse organisation, de sorte que la voie vers la création du vingt-troisième ennemi, semble déjà être largement ouverte.

C’est la panique ! Le vingt-troisième ennemi pointe son nez, et les cabalistes israéliens savent très bien, que si le malheur ne vient pas d’une intention directe de leurs ennemis, ce malheur ne manquera pas d’être “attiré” par la crainte que les israéliens en ont collectivement. Ils savent que motivée par cette crainte, la recherche d’invincibilité leur sera fatale.

Bien sûr, j’imagine votre consternation, à la lecture de ces faits qui vous paraitront à peine crédibles. Comment serait-il possible en effet, qu’en ce début de vingt et unième siècle, on s’en viendrait ramener dans ce règlement on ne peut plus sérieux du concert des nations, des histoires aussi totalement ahurissantes et irrationnelles, que toutes celles qui concernent les religions, la croyance, la magie, l’astrologie, la sorcellerie et autres ?

Tout le monde conviendra que les croyances des uns et des autres, ne concernent qu’eux, qu’elles ne peuvent interférer dans le règlement de différents entre peuples et nations, et que dès lors elles peuvent bien être ce qu’elle veulent, nous autres, nous nous en moquons !

Seulement voila. Il y a tout d’abord le fait qu’envisager la question d’un pays comme l’état d’Israël, en ignorant superbement les donnés religieuses qui en ont fait un “état juif“ selon un concept dont ses auteurs n’ont pas mesuré un seul instant, que cela le condamnerait, peut s’inscrire dans le cadre de la rigueur juridique, mais certainement pas dans celui de la réalité des faits, la religion se trouvant au cœur des problèmes concernant le proche orient.

Mais il y a surtout, et c’est là que la fatalité cosmologique de ce pays apparait, que pour que ces Israéliens puissent enfin aborder cette question de leur rapport aux autres, détachés de considérations religieuses rendant son règlement impossible, donc pour qu’ils puissent en finir momentanément avec la religion, il aurait fallu que paradoxalement, ils possèdent la “foi”, une foi énorme, autrement dit une pleine “confiance”, en la positivité de cette attitude, pour qu’elle puisse l’être effectivement.

Comprenons ici que ce que nous appelons la “crainte”, n’est en fait qu’une forme négative de “l’espérance”, c’est à dire de ce à quoi “on s’attend”, et qu’elle participe ainsi d’une forme morbide de “croyance”, qui possède exactement la même capacité sur le cours des choses, que la croyance positive. C’est d’ailleurs ce qui fait que lorsque dans une nation, les gens craignent énormément, collectivement, il ne peut leur arriver que les pires épreuves, et ceci, alors qu’à aucun moment ils ne soupçonnent et ne comprennent, que ces dernières sont la conséquence de leur manque de “foi”.

L’exemple emblématique que nous avons à ce sujet, c’est la situation dramatique du continent africain, où la désespérance des gens, fait qu’ils se retrouvent à faire faces à des difficultés sans fin. Il est remarquable d’ailleurs que depuis quelques années, les Européens ont rejoint les Africains, dans cette façon d’attirer le malheur sur eux, et ce par la faute de ceux-là mêmes dont la fonction était de les en mettre à l’abri, mais qui n’ont fait que leur promettre encore plus de rigueur et plus de douleur chaque jour, et nous en voyons le résultat.

Avoir la foi, avoir la confiance, attendre le meilleur de l’avenir et être convaincu qu’il adviendra, il n’y a que comme cela qu’il peut advenir, puisque c’est selon cette attente que s’établie la “tendance” des choses, de sorte que l’on peut dire que si “l’espoir” fait vivre, la “crainte” quant à elle, fait logiquement mourir.

Or, la crainte accompagne l’histoire des juifs depuis 3500 ans, elle se trouve même inscrite au cœur de leurs textes religieux, avec un dieu qui ne manque pas de leur promettre, de leur en mettre, s’ils le déçoivent, et elle n’a pas manqué d’attirer sur eux des malheurs récurrents, tel que celui qui se prépare à nouveau en ce moment. Autant dire que la confiance n’est pas à la veille de s’installer chez des gens comme les Israéliens, dans un pays où depuis sa fondation, et c’est bien déjà là que les chances de ce pays ont été loupées, tous les aspects se sa politique, tant intérieure qu’extérieure, sont motivés par la crainte, issue de l’holocauste, résultant lui-même de tout ce qui aura été l’histoire du rapport des juifs avec les autres peuples, depuis la lointaine antiquité.

Observons que, sous l’effet de la crainte, ce sont précisément toutes les dispositions prises par les Israéliens depuis plus de cinquante ans, afin de leur sécurité, conquête, occupation, annexion, colonisation, racisme, injustice, brimades, incarcération, massacres, crimes de guerre, crimes contre l’humanité dans une quête totalement irréaliste d’invincibilité, qui aujourd’hui les condamnent à la disparition, étant bien entendu que la colonisation des territoires palestiniens, et le refus de la constitution de leur état, ne leur laisse absolument plus aucune chance, de parvenir à jamais, à un règlement pacifique de ce conflit.

Conscient de se trouver dans une telle impasse, les Israéliens qui se savent condamnés, ont décidé de jouer leur “va tout”, avec le concours des américains, dont la crainte suite aux attentats du 11 septembre, les a entrainés dans les mêmes errances, en Irak et en Afghanistan, c’est à dire détruire un maximum de leurs ennemis les plus immédiats. Ceci, alors même que du mur des lamentations, jusqu’à la muraille de Chine, et sur plus de douze mille kilomètres, ils ne se connaissent que des ennemis, et que dans l’autre sens, jusqu’au bord de l’atlantique, ce n’est pas mieux.

Si vous croyez que tous les conflits qui ensanglantent le proche orient et l’Afrique du nord, ont pour objet le pétrole, et la volonté impérialiste des occidentaux, vous vous trompez. Non pas que les occidentaux ne tentent évidemment de profiter de l’occasion de ces conflits, pour faire main basse sur la richesse des contrées soumises, mais la raison fondamentale de tous ceux-ci, ne consiste qu’en une lutte interminable, afin de la protection d’un état d’Israël, que le cosmos condamne, parce qu’il est tout d’abord le produit d’une anti-religion, mais surtout, parce qu’il participe de la “représentation du mal”.

Observons ici que ces difficultés tiennent au fait que fondamentalement, le “judaïsme” constitue un “sectarisme”, qui se trouve curieusement protégé par des lois contre le racisme, alors qu’il en constitue un lui-même, signifié par la “circoncision”, laquelle constitue en fait, le “simulacre du clan”, autrement dit la corrélation physique, d’une disposition clanique, qui est quant à elle, métaphysique. Ceci en fait en réalité, une “anti-religion”, qui a pour effet, puisque notre humanité est “une”, de partager logiquement celle-ci, entre les “juifs” d’un coté, et les “antisémites” de l’autre.

Ceci, aussi certainement qu’il existe une parfaite symétrie entre la découpe de la part d’un gâteau, et la découpe qui apparait alors sur le reste du gâteau. Croire qu’il pourrait y avoir une positivité de leur judaïté, selon un exercice des juifs, sans qu’il n’y ait une positivité inverse du reste de l’humanité, autrement dit, une manifestation “d’antisémitisme”, et que le reste de notre humanité demeurerait totalement indifférent à cet exercice, est une idiotie qui consiste à croire que la découpe du reste du gâteau, pourrait demeurer indifférente à celle que peut prendre à l’occasion la part du gâteau. Or, il est clair, qu’elle lui demeurera en toutes circonstances, strictement “opposée”.

Cette façon d’envisager les choses n’a pas de sens, et c’est bien pourquoi de problème de l’antisémitisme ne possède pas de remède, car en réalité, il faut condamner les formes “criminelles” de l’antisémitisme, non parce qu’elles sont antisémites, mais tout simplement parce qu’elles sont criminelles, cet antisémitisme étant totalement indissociable de la judaïté, dont le sectarisme donne conjointement existence à eux deux.

Ce qui maintenant fait du judaïsme une “anti-religion”, c’est que la religion constitue par définition, ce par quoi notre humanité tend à ne plus faire “qu’un”, de sorte que toutes les religions ont vocation à l’universalité, tout homme étant appelé à devenir chrétien, musulman, ou bouddhiste. Mais, tout le monde n’est évidemment pas appelé à constituer le “peuple élu”, ce qui, parmi les autres, ne peut être que le statut d’une “secte”, en notre humanité.

Observons aussi que ce qui constitue la justification fondamentale de l’état d’Israël, c’est “le mal” qui fut fait aux juifs, particulièrement la Shoa, de sorte que par fondation même, ce pays “re-présente” tout ce mal que par le fait, il “ré-actualise”, en reproduisant à l’aveugle contre d’autres, tout le mal qui fut fait aux siens. Et ceci, selon la célébration du “Talion”, justifiée dans l’ancien testament, celui que suivent les juifs, et contestée dans le nouveau testament, selon la parole de Jésus, qui exhorte à ne jamais reproduire contre l’autre, le mal qu’il vous à fait, donc à ne jamais le “représenter”, en étant le “représentant du mal”. Ceci, étant bien entendu que la persistance du mal dans notre humanité, procède bel et bien, tout simplement de sa représentation.

Si elle se trouvait généralisée, une telle attitude qui consiste à rendre coup pour coup, comme s’emploient à le faire systématiquement Israéliens et Américains, aurait dévasté notre humanité depuis longtemps. Mais fort heureusement, la “représentation du mal”, en accord avec une anti-religion qui ignore la “rédemption”, puisque c’est justement selon elle, que fut exécuté le grand législateur de Palestine, promoteur de celle-ci, demeure une exclusivité des juifs, mais c’est bien ce qui avec d’autres caractères, qui leur vaut sous toutes les latitudes, et depuis des millénaires, une solide inimitié avec les autres peuples...

Comprenons ici, que c’est bel et bien la religion elle-même des juifs, le “judaïsme”, qui depuis les origines, les condamne à la persécution, et fatalement à l’extermination, qu’elle soit physique, où qu’elle soit psychique, par un renoncement qui devra bien intervenir un jour, à cette croyance, ce qui sera précisément l’œuvre du “messie” libérateur, qu’ils attendent.

La question de fond qui se pose concernant cette affaire est la suivante :

“Qui a dit aux juifs, qu’ils étaient juifs ?”

Certainement pas quelqu’un qui leur voulait du bien, et les grands prêtres Egyptiens que je soupçonne d’avoir “fait le coup”, d’une part parce qu’ils avaient maille à tirer avec les Hébreux chez lesquels s’était réfugié un de leurs princes, Moïse, mis en disgrâce, parce que porteur avec la secte sacerdotale égyptienne des “lévites”, d’une croyance offensant les moines thébains, et d’autre part, parce qu’ils étaient les seuls à posséder la science pour cela, ont ainsi plongé tous ceux qui se réclamaient de cet héritage, dans une “malédiction” qui dure depuis près de 3500 ans...!

Il serait trop long ici, de développer cette questions relevant de la haute métaphysique, et je me contenterai pour l’instant, de vous en donner quelques grands axes, vous permettant d’apercevoir de quoi il s’agit, à charge que nous prenions le temps plus tard, de les approfondir ensemble.

Je m’excuse par avance auprès des amis qui m’ont déjà fait remarquer que mes textes sont parfois incompréhensibles, et je vais essayer de faire de mon mieux pour pouvoir être compris...

Tout dans notre univers est “ambivalent”, c’est à dire que quelque objet que ce soit, selon son expression, celui-ci peut posséder pour nous une valeur donnée, ou une valeur qui est précisément inverse à la première. L’ambivalence de l’objet réside alors dans le fait que, la valeur de son expression, celle qui nous le signifie, et selon laquelle nous l’apprécions, est l’inverse de la valeur non exprimée de cet objet, celle de ce qui reste en lui, et qui le constitue, et dont nous ne pouvons par le fait pas avoir connaissance.

Cependant, il peut se produire différentes expressions de l’objet de sorte qu’une valeur précédemment exprimée, peut une autre fois ne pas l’être, ce qui fait que c’est la valeur inverse qui cette fois se trouve exprimée, conférant à cet objet une valeur justement opposée, à celle que nous lui reconnaissions auparavant selon la première expression.

Ce qui est “dit”, selon donc une “diction”, étant logique d’une “expression”, il se produit donc une “bénédiction” de l’objet, par une expression “positive” de celui-ci, selon l’appréciation que nous en avons, et il se produit une “malédiction” de cet objet, par une expression “négative” de celui-ci, toujours selon l’appréciation que nous en avons, laquelle s’établit selon un “arbitraire affectif”, qui est propre à l’humain.

Ceci, étant bien entendu que hors de notre appréciation arbitraire, les choses n’ont pas de valeur.
Cet “objet” pouvant être “formel”, c’est à dire physique, ou “conceptuel”, c’est à dire psychique, comprenons alors que tout ce qui à trait au judaïsme, relève de la “malédiction”, c’est à dire de “l’expression négative” d’un fait, tel que “nommé”. Il s’agit alors en la “nomination”, de la procédure par laquelle l’objet se trouve constitué, de façon distincte des autres, et par laquelle se trouve ainsi établis ses caractères “nominaux”.

Il existe bien sûr un rapport direct entre le nom que nous donnons à un objet, et le processus selon lequel il se trouve constitué, mais le développer ici nous emmènerait beaucoup trop loin. Ce sera pour une prochaine fois...

Si tel que nous venons d’en préciser le sens ici, le judaïsme relève d’une malédiction, c’est tout d’abord à cause de la compréhension que les juifs ont eux-mêmes de leur propre nom, “Jehouda”, qu’ils comprennent maladroitement comme signifiant, “fidèle à Dieu”. Or, “Ja”, et ses formes déclinées, “Je”, ou “Jo”, que l’on retrouve tout au long de la bible traduit par “Dieu”, n’est justement pas Dieu, mais son “inverse”, d’où la malédiction.

Ceci tient au fait que traduisant le psychisme de leurs locuteurs, il existe des langues de la “confusion numérale”, telles que l’hébreu, et l’anglais, où le singulier et le pluriel demeurent parfois non discernés. C’est ainsi qu’en anglais par exemple, le mot “people”, désigne indistinctement la singularité d’une personne, où la pluralité d’un peuple. Il se trouve que dans ces mêmes langues, et précisément dans l’anglais, la notation j, ou dj, ont la même valeur phonétique, ce qui entraine la confusion de leur valeurs sémantiques, qui elles, demeurent distinctes.

Ainsi, depuis plus de trois mille ans, les rapporteurs de la grande tradition biblique, ont confondu, avec la conséquence désastreuse que vous pouvez imaginer, “Ja”, et “Dja”, lesquels termes évoquent deux fonctionnalité diamétralement opposées, Ja, étant ce par quoi tout “insiste”, procédure “totalitaire” qui conduit à “l’universalité” des choses, et “Dja”, qui est ce par quoi tout “existe”, procédure sectaire, qui conduit à la “spécificité” des choses, et qui n’est rien d’autre que ce que nous comprenons habituellement comme étant “Dieu”.

En se réclamant ainsi de Dieu, les juifs se sont fait les champions du sectarisme, celui-là même que tout le monde leur reproche, en constatant que par le fait, ils ne pensent qu’à eux. Mais le pire, c’est qu’en attribuant leur sectarisme à Ja, qu’ils ont confondu avec Dieu, et qui constitue le véritable objet de la religion et non pas Dieu, car c’est selon Ja, que nous tendons à ne faire “qu’un”, ils se sont mis, ou on les a mis, dans la malédiction la plus totale, avec ceci que le maudit, devient très rapidement le plus fervent défenseur de sa malédiction.

Essayez donc d’aller dire aux juifs qu’ils sont “maudits”, vous allez voir ce que cela va vous coûter...

Comprenons alors que le concept de “peuple Juif”, relève de la malédiction, car il ne peut absolument pas y avoir un peuple, dans lequel tous les membres pourraient avoir la qualité de juif.

Dans le sens béni de “Jehouda”, c’est à dire “fidèle à Ja”, et non pas à Dieu, ceux du “juif”, sont les non-juifs, dont il est le juif, exactement comme ceux du premier de la classe, sont tous les autres élèves de cette classe, dont il est le premier. L’idée d’un peuple où tous les membres auraient la qualité d’être juifs, est totalement aussi stupide que l’idée d’une classe, dans laquelle tous les élèves auraient la qualité d’être premiers de la classe.

Le juif d’une collectivité, est celui par lequel s’établit un contact de celle-ci avec l’au-delà, et il ne peut pas y en avoir plusieurs dans cette collectivité. Là encore il faudrait développer, mais cela prendrait des pages, donc une autre fois...

Toujours dans le sens béni de ce terme, il ne peut pas y avoir de “religion juive”, spécifiée selon un “sectarisme”, par rapport aux autres.

Comprenons ici que ce que nous désignons comme étant “les religions”, ne constituent que l’ensemble des tentatives, plus maladroites les unes que les autres, de rendre compte de “la Religion”, étant bien entendu que notre humanité étant “une”, cette unité ne peut pas être le fait d’une pluralité de religions concurrentes, et qui se font la guerre.

Ceux qui font la guerre au nom de la religion, et malheureusement ils sont nombreux, ne sont que des hordes de pauvres types qui n’ont absolument rien compris au film, et qui prétendent des volontés, des désirs, et des préférences, à un dieu qui possède forcément tout, et qui n’a donc rien à vouloir, rien à désirer, et qui ne saurait préférer une de ses parties à une autre, pas plus un peuple qu’autre chose, puisque toutes ces parties lui sont immanquables...

Tout ceci signifie que fondamentalement, la Religion, la vraie, la seule, que trahissent plus ou moins les religions, est “juive ” par définition même, selon le sens béni de Jehouda. Ceci signifie, qu’il ne peut certainement pas y avoir dans le sens béni du terme, une religion se disant juive, et qui viendrait s’opposer aux autres en se réclamant d’un clan, et d’un faveur particulière du ciel, tout cela relève da la malédiction, et c’est probablement par cela, que les grand prêtres égyptiens, on réglé leur compte aux Hébreux.

Enfin, il est facile de comprendre que pour toutes ces mêmes raison, selon le sens béni de Jehouda, il ne peut pas y avoir un état juif, et qu’en l’ayant désigné ainsi, ses fondateurs l’ont par cela même maudit.

Le juif, le vrai, est un citoyen du monde, et retenons que d’une façon générale, tout sectarisme, tout particularisme, toute prétention de prérogative, de supériorité, et de rapport de favori avec le ciel, rapporté au terme “juif”, relève de la malédiction...

Israël est un pays maudit qui n’a comme tel aucune chance, le cosmos de toutes les façons, aura le dernier mot. Le malheur c’est qu’il a fait son instrument, afin de procéder à la destruction systématique de ses nombreux ennemis, des Etats-Unis d’Amérique. Or ceux-ci, déjà échaudés par de nombreuses aventures imbéciles dans lesquelles ils n’avaient dès le départ, aucune chance de l’emporter, comme le Viet Nam, la Somalie, le Liban, l’Irak, et l’Afghanistan, parce que ces gens n’étaient pas décidé à leur offrir le type de guerre qui les arrangeait, avec gadgets électroniques, satellites, et autres, mais s’en venaient simplement avec quelques couteaux de boucher, pour leur faire leur affaire, selon ce que les spécialistes appellent un “conflit asymétrique”, ne manifestent plus guère d’enthousiasme, ni le peuple, ni les état majors, pour de nouvelles aventures catastrophiques.

C’est alors que pour garder la haute main sur cette Amérique, les Israéliens ont décidé de la frapper à la tête, et ont mobilisé leur “cabalistes”, pour qu’ils entreprennent une action de mise sous influence, on pourrait dire autrement, “d’envoutement” de son président, ce qui semble avoir parfaitement fonctionné, puisque depuis quelque temps, celui-ci ne cesse de prendre des mesures liberticides, contre son propre peuple, pour être certain que personne ne s’opposera à sa volonté déterminée, de partir en guerre...

Nous avons parlé de l’effet de la croyance et de la crainte, et la question que vous vous posez est de savoir si le psychisme peut avoir un quelconque effet sur la physique des choses? Je vous réponds donc absolument, oui. Je vous en dirai plus, mais cela sera long...

Je peux cependant déjà vous donner deux éléments vous permettant d’engager votre réflexion à ce sujet :
Notre univers, dans tous les aspects que nous lui reconnaitrons, ne sera à tout jamais pour nous, que “tel que nous le concevrons”, car nous ne pourrons jamais rien lui reconnaitre, qui échapperait à notre capacité de concevoir. En principe là, tout est dit...

Ce qui nous advient, se trouve par le fait, déterminé à nous advenir. Or cette “détermination“, autrement dit l’établissement du fait entre “deux pôles”, ne peut se faire qu’à partir du lieu de la potentialité de ce qui nous advient, c’est à dire l’avenir, jusqu’au lieu où il advient, c’est à dire nous, en notre présent. Si donc il n’existait pas une “disposition” en nous-mêmes, constituant le second pôle de ce qui nous advient, il ne nous adviendrait rien. Il ne peut donc nous advenir, que selon la façon dont nous sommes disposés pour cela, espérance, ou crainte...

Ceci étant, et pour l’heure, ce qu’il y a de plus préoccupant pour nous tous, c’est que nous sommes avec ce fou manipulé, à l’heure des plus grands dangers pour toute notre humanité, et ce, pour la seule satisfaction de ceux qui se montrent près à faire périr tous les autres, afin de leur seule survie...

Il nous faut donc être vigilants, mais pas craintifs…


Paris, le 9 janvier 2012
Richard Pulvar