...ET QUI IMPOSERONT A LA FRANCE, LE “GRAND
CHANGEMENT”,
OU LA MISE A
LA RETRAITE…
Il faut
bien en prendre conscience, cette véritable “injure” faite à la vie que
constitue dans les sociétés européennes, le fait que leurs citoyens se trouvent
des préoccupations bien plus importantes que de songer à la pérennité de
celles-ci en faisant des enfants, est une faute pour laquelle il n’y aura pas
de pardon…
Car, si le
“cataclysme métaphysique” dans lequel se trouve encore plongé le continent
africain, en le maintenant dans une faiblesse endémique dont il peine à sortir,
accorde encore aux Européens quelques années de confort et de tranquille
insouciance quant aux évolutions du monde, il n’en sera pas de même aux
alentours de 2040, lorsque l’Afrique qui frôlera alors les 2 milliards
d’habitants, en étant sortie par nécessité de sa torpeur, et que l’Asie
dépassera quant à elle les 5 milliards d’habitants…
Personne ne
peut avoir la fragilité de croire que les Européens qui ne représentent déjà
plus que 9,8% seulement de la population mondiale, et qui à cette époque ne
représenteront plus que 8% dont 6,5% seulement pour l’Union Européenne, seront
en mesure de conserver la position économique et géopolitique si dominante qui
est encore la leur aujourd’hui…
Car, en
plus de la marginalisation démographique qui frappe désormais cette Europe, il
y a surtout le désespérant vieillissement continuel de sa population qui la
prive chaque jour davantage à la fois, du “dynamisme” entrepreneurial, et des
équilibres budgétaires, qui sont nécessaires à la compétition internationale.
C’est
contre cette perspective que sous la recommandation de leurs statisticiens mais
également selon les attentes des entrepreneurs et des financiers, des chefs
européens avisés ont décidé contre la volonté même des peuples, donc d’une
façon maquillée pour la Grande Bretagne, l’Italie et l’Espagne, mais
ouvertement déterminée pour l’Allemagne, de profiter des flux migratoires pour
tenter de rétablir la démographie défaillante de leurs pays.
Ainsi, le
“grand changement” se trouve-t-il historiquement inscrit dans le devenir des
nations européennes, pour que selon la loi de Pareto, elles ne deviennent pas
de gigantesques maisons de retraite, dont les nécessités seraient assurées par
des usines de robots…
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